Les effets des régulateurs sur les microenzymes de notre organisme et dans l’origine de la vie selon le docteur Campagnoli

En regardant une goutte de sang au microscope, on voit des germes vitaux tous petits appelés symbiote, qui voltigent comme de la neige parmi les cellules. Ces derniers sont présents dans chaque tissu animal ou végétal, vivant en harmonie avec le corps qui les accueille dans une relation symbiotique ou réciproquement bénéfique : ils sont la base qui constitue notre vie, toujours impliqués dans la régulation des anomalies.

 Déjà en 1870, le contemporain de Pasteur, Antoine Béchamp, avait découvert les même petites particules vivantes que l’on a évoquées, auxquelles il donna le nom de microzymes. Ces derniers peuvent changer de dimensions et de formes selon l’état de santé de l’organisme dans lequel ils vivent, confirmant ainsi la théorie du polymorphisme bactérien. La maladie donc, se manifesterait lorsqu’un déséquilibre trouble les fonctions normales des microzymes ou des symbiotes.

Quand l’état de santé  est altéré (par la malnutrition, par une intoxication ou par un stress physique ou psychique), le symbiote se transforme d’agent inoffensif et source de vie en germe pathogène, c’est-à-dire en microbe !

Sang en bonne santé
Sang en bonne santé les petits points blancs sont les symbiotes


Le gros bouleversement est que ce n’est pas le microbe qui provoque la maladie come l’affirmait Pasteur, mais la maladie est le terrain propice à générer le microbe comme le soutenait Béchamp.

En effet, si le microbe était le seul responsable, comment peut expliquer le fait que les infirmières qui par exemple soignent les tuberculeux ne sont pas contaminées tandis que d’autres sujets, beaucoup moins exposés, au bacille, tombent malades beaucoup plus rapidement ?

Enderlein (1872-1968) affirmait lui aussi que l’environnement conditionne la forme et les fonctions des micro-organismes, en déterminant leur passage, de formes non pathogènes à des formes pathogènes, de formes non virulentes à des formes virulentes. Dans un individu sain, le symbiote et l’occupant se trouvent dans une situation de symbiose réciproque, équilibre qui peut être troublé par des influx nocifs de l’environnement.

Récemment le Docteur Nader Butto, cardiologue Israélien explique très bien la nature des bions ou microzymes les définissant comme étant la plus petite unité de vie, une transition entre le système non vivant et le système vivant. Ces derniers ont en effet deux cycles vitaux :

  • Un « microcycle » constitué par 3 formes , qui s’observe chez les individus sains,
  • Un plus complexe « macrocycle » constitué par 16 formes, qui s’observe habituellement chez les individus souffrant de maladies dégénératives, y compris le cancer.
Sang avec des formes parasitaires et des symbiotes
Sang avec des formes parasitaires et des symbiotes

On a observé que dans les cas ou un grave changement ou une détérioration dans l’environnement interne du corps, les éléments en question traversent différentes phases du développement cyclique et d’agent inoffensifs, ils progressent au point de devenir des bactéries ou des champignons, générateurs de maladies.

Si nous observons le sang, les sécrétions et les tissus des cancéreux, nous trouvons surtout des formes vésiculeuses et en bande, d’un bleu intense et lumineux, qui ne ressemblent ni à une cellule ni à une bactérie ; dans leur crachement, nous retrouvons des amibes à queue qui frétillent et palpitent.

Comment ont-elles pu atteindre les voies respiratoires humaines vu qu’elles n’existent pas dans l’atmosphère ?

Elles trouvent dons leur origine à l’intérieur du soma : il s’agit d’une décomposition du tissu qui produit ces structures, lesquelles agissent comme une auto infection de l’organisme.

En revenant donc à notre théorie du polymorphisme pour laquelle le même microbe peut adopter différentes formes en s’adaptant à l’environnement dans lequel il vit, il apparait donc évident que si la santé de l’individu se renforce avec quelque chose qui réussit à recharger le « terrain » en énergie, les germes pathogènes que celui-ci accueille retrouvent leur forme originale de microzymes et leur fonction En renforçant le terrain, les microbes disparaissent et avec eux les maladies également.
Beaucoup de symbiotes actifs et résistants correspondent à un bon système immunitaire.de protecteur pacifiques.

En renforçant le terrain, les microbes disparaissent et avec eux les maladies également.

Beaucoup de symbiotes actifs et résistants correspondent à un bon système immunitaire.

Si la défense immunitaire est faible et en présence de maladie, on peu constater qu’il y a très peu de symbiotes qui peuplent le sang car ils se sont développés sous une forme parasitaire.

Le Docteur Hans Niedermaier, recherchant un produit qui puisse rééquilibrer l’alimentation de nos jours trop rapide et raffinées qui nous aide à vivre mieux en contrastant l’énorme stress ‘ »physique auquel nous sommes soumis, a obtenu, grâce à un procédé de fermentation en cascade de noix, fruits et légumes des enzymes décomposés d’origine végétale dotés d’une importante énergie vibratoire qui, de façon très surprenante si on les observe au microscope, sont les même symbiotes que ceux du sang sain.


Regulatpro de Nature a Coeur est bon pour la santé

Le Docteur Scheller, en étudiant le produit, découvre que ce dernier contient des prototypes de bacilles vitaux en forme pure hautement concentrés et que les symbiotes endogènes sont activés, énergisés et multipliés par l’ajout des symbiotes contenus dans le «régulateur », que notre corps reconnait  comme tels.

Ce système de régulation est très impressionnant car on peut observer directement comment sont améliorés la qualité du sang et la vitalité des cellules ainsi que les organes du corps.

Les tests in vitro ont démontré qu’en ajoutant la concentration des symbiotes du régulateur à une goutte de sang dégénérée contenant des bactéries, ces dernières sont désintégrées, revenant à la forme originale et sont converties en symbiotes.

L’énergie de notre organisme augmente considérablement parce que le régulateur effectue, grâce au 10 000 enzymes décomposées différents, voire plus, un processus de nettoyage en réussissant à éliminer les toxines dans les cellules, en les associant et en les envoyant aux organes d’expulsion.

Ce qui signifie que le régulateur élimine les éléments acidifiants en créant un environnement basique dans le sang qui est la condition préliminaire à une bonne santé.

Docteur Campagnoli

Docteur en pharmacie naturopathe intervenante scientifique,
spécialisée dans le rééquilibre acide base et nutrition

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